les indices qui trahissent le bonheur
Promenade dominicale dans le Parc Montredon.
Lire la suite les indices qui trahissent le bonheurPromenade dominicale dans le Parc Montredon.
Lire la suite les indices qui trahissent le bonheurCastellane. Match et bar font bon ménage. Même si l’on perd. Les assis sont là, le serveur danse, désespéré d’être seul face à la foule. Triste score, un peu comme si les gens ne s’étaient pas tout à fait réveillés d’une sieste collective. On reste assis, à ne trop savoir quoi faire de son corps […]
Lire la suite Finale de coupe à Castellane« Salut la famille ! Ça va ? » C’est un samedi matin qui s’ébruite doucement, comme j’ai si souvent eu l’habitude d’en voir ici, de sourires sous des lunettes opaques, de conversations heureuses, de jus d’orange qui brillent sans éclat comme des soleils sur les tables, de cafés, d’eaux pétillantes dans lesquelles se figent et brûlent […]
Lire la suite Sans inquiétudeJ’ai pris le CHEMIN du ROUCAS BLANC. La carte du ciel, plus grise que bleue, vient adoucir la ville. La douceur sombre des nuages dicte sa règle jusqu’aux façades et jusqu’au sol, tirant vers elle chaque couleur, chaque singularité, chaque repli du relief disputé par la lumière ou l’ombre, tandis que quelques grosses gouttes font […]
Lire la suite Le roucas entre pluie et soleilWeek-end à Marseille, juste avant le confinement total.
Lire la suite Rien ne saurait confiner la lumièreIls sont là depuis des heures peut-être. Ils ont des histoires aussi longues que le temps qu’ils passent sur certaines voyelles. L’amour. L’argent et les petites embrouilles familiales. « Oh, attends. Tu veux que je te fasse rire ? … » Ils ont des petits-enfants. « Et c’était à Noël. Ils me le punissent à […]
Lire la suite Le visage du littoralAssis, sage et silencieux. Trop poli peut-être. Trop timide. Les deux serveurs virevoltent entre les tables. Ils butinent à coups d’assiettes pas tout à fait vidées d’une clientèle déjà partie payer à l’intérieur, de verres encore gluants de lèvres disparues, de couverts qui scient les yeux quand l’argent devient presque pire que l’œil vers le […]
Lire la suite Oreilles de chatPeu importe. Peu importe le ciel, le temps qu’il fait, la force du vent. Peu importe que les nuages épais se réécrivent, comme une carte après la guerre et qu’il est l’heure de se partager le grand gâteau du Monde. Peu importe qu’il fasse gris. D’ailleurs qu’est-ce que ça veut dire. « Il fait gris […]
Lire la suite L’exposition universelleLe plaisir de prendre un café au bord de l’eau, sur la Corniche à Marseille, et de savourer les gens.
Lire la suite Au milieu du mondePetite randonnée dans les Calanques marseillaises.
Lire la suite Sentier salé