Une heure trente sur la Coulée verte
La tache des mouettes presque invisible sous le gris du ciel. Leur cri, qu’aucun nuage ne saurait adoucir. Des passants que rien ne presse, des mamies assises, des coureurs. La Coulée verte. Des bambous je crois. Nos visages coupés en deux. Nos regards y ont gagné au change. Des gens le bassin contre le mur […]
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