les indices qui trahissent le bonheur
Promenade dominicale dans le Parc Montredon.
Lire la suite les indices qui trahissent le bonheurPromenade dominicale dans le Parc Montredon.
Lire la suite les indices qui trahissent le bonheurMilan. PIAZZA SAN SEPOLCRO. Je reste silence et sourire au milieu de la place. Tout autour, où qu’aille le regard, les couleurs s’embrassent doucement. La façade d’argile couleur de sang qui dort depuis longtemps vient s’appuyer contre le ciel dans un mélange que j’ai souvent aimé. Les chiffres blancs sur fond bleu de l’horloge qui […]
Lire la suite Sans rien me demander qu’un peu d’amourUne journée fascinée à Orange.
Lire la suite La béatitude des tempsLisbonne. Je suis debout à l’entrée du BECO dos FRÓIS. Je regarde pendant un long moment la lumière épaissir et froisser le feuillage des ormeaux en contrebas.Je voudrais pouvoir la suivre dans son trajet, du ciel jusqu’à la mer à l’Ouest. Je voudrais pouvoir l’écouter glisser sur les façades au milieu de la musique moderne […]
Lire la suite Pour elleLisbonne. Premier crayon. CALÇADA DE SANTO ANDRÉ. Je me suis abrité sous le petit auvent du Café Silva pour vivre la pluie des yeux sans en craindre le reste. Fine d’abord, je l’entends et je la vois qui monte en force, jusqu’à prétendre faire concurrence au mouvement vertical du linge étendu aux fenêtres que personne […]
Lire la suite Première esquisse lisboète« Salut la famille ! Ça va ? » C’est un samedi matin qui s’ébruite doucement, comme j’ai si souvent eu l’habitude d’en voir ici, de sourires sous des lunettes opaques, de conversations heureuses, de jus d’orange qui brillent sans éclat comme des soleils sur les tables, de cafés, d’eaux pétillantes dans lesquelles se figent et brûlent […]
Lire la suite Sans inquiétudeJ’aimerais tant toujours avoir le mot fluide. Trouver cet équilibre, ce fil, entre ce que je me plais à écrire et ce que m’offre le monde. Quelque que soit l’endroit, quels que soient les êtres autour de moi ou la force de la lumière ce jour-là, je devrais me jurer d’aimer, me jurer d’écrire, emporté […]
Lire la suite Quelques fils entremêlésIl m’a vu sourire. Il a compris. « Vous voulez une tasse neuve ? » Il s’était rapproché de ma table, il avait pris ma tasse pour la déposer prestement sous la machine magique. C’est une économie familière que je n’avais encore jamais vu et qui m’a fait plaisir. Je suis partagé entre l’intérieur et l’extérieur. […]
Lire la suite Par un bel après-midiCafé. Les gens. J’écoute. Dans un silence qui ne cliquette que pour moi. Je vois. Je souris en pensée à toutes ces solitudes qui disparaissent, jetées au fond des tasses et des verres, toujours prêtes à s’évaporer dès qu’elles le peuvent au cœur des voix, au milieu des fumées qui volutent. Je vois les visages. […]
Lire la suite Quelques images contre un caféJ’ai pris le CHEMIN du ROUCAS BLANC. La carte du ciel, plus grise que bleue, vient adoucir la ville. La douceur sombre des nuages dicte sa règle jusqu’aux façades et jusqu’au sol, tirant vers elle chaque couleur, chaque singularité, chaque repli du relief disputé par la lumière ou l’ombre, tandis que quelques grosses gouttes font […]
Lire la suite Le roucas entre pluie et soleil